N.M,nourrisson de 18 mois violée à Boma en septembre 2014 vient d’être inhumée au cimétière de Kimpangu à Boma. Malgré les soins administrés,elle n’a pu être sauvée. L’émoi était totale.
Tristesse, consternation se lisait sur le visage de la foule venue dire ses adieux à N.M. Que de larmes sont versées . L’infortunée gît désormais au cimétière de Kimpangu à Boma .Auparavant,son corps a été exposé devant la maison communale de Kalamu en présence d’une foule nombreuse et des autorités politico-administratives. ‘’Nous condamnons les violences sexuelles dans notre province. Nous demandons à la population de ne pas se taire en cette matière. Il faut dénoncer pour qu’il y ait des sanctions exemplaires à l’endroit de tous ces auteurs’’,recommande Jacques Mbadu, le gouverneur.
Septembre dernier, N.M a été violée par Kolala Kito, 20 ans. Cet acte s’est déroulé dans la parcelle familiale sur l’avenue Katala numéro 13, dans la commune de Kabondo. La victime a été vite acheminée à Kinshasa pour une meilleure prise en charge par la députée nationale Yvette Mbadu, épouse du gouverneur.Malheureusement,la prise en charge est arrivée tardivement.
Le bourreau du nourrisson,Kolala Kito est détenu en prison. Il sera jugé en audience publique le jeudi prochain.
C’est vraiment dommage que le Kongo central soit confronté à ces genres d’actes. Il est vraiment temps que nous nous séparions des tous les étrangers sauvages venus d’autres provinces. Des bêtes de sommes aux mentalités des brutes. Si cet assassin de KOLALA KOTI est notre, il mérite bien la mort par lapidation.
Que vive l’état indépendant du kongo central.
Pourquoi accueillir un monstre en prison ? Ce demon mérite mille fois la pendaison publique pour l’ exemple .Quelqu’ un pourrait il me dire si ce diable est un des nôtres ? Un tel nom KOLALA KOTI ; je ne sais pas si ça existe au Kongo central … Quand nous denonçons la présence massive des non originaires et recommandons aux autorités pronviçale de renvoyer tous ce gens chez eux on nous prend pas au serieux . Arrêtez de vendre des maisons et nos terres aux autres ,jamais on ne peut mélanger des gens aux cultures aussi divergentes ; on voit les résultats . Les kongo sont tirés vers le bas , petit à petit nous perdons tous nos vertus et nous ressemblons de plus en plus aux peuplades sauvages qui nous entourent . Muanda Nsemi a raison : Vive l’ indépendance du Kongo central .